Laurent Baffie commence à perdre ses cheveux vers 30 ans. Parce qu’il exerce un métier d’image, son apparence est très importante. Il cherche des solutions sans sauter le pas parce qu’il n’a pas confiance. Jusqu’à ce qu’une trentaine d’années plus tard, un échange avec Cyrille Eldin, l’un de ses amis humoristes, provoque son déclic. Le choix de la méthode DHI devient alors une évidence.
“Ils implantent tout ce qu’ils te retirent ici, ils l’implantent juste à côté de tes cheveux dans le même sens, pour respecter le mouvement, ce qui fait que ça a l’air hyper naturel”. “Il n’y a pas de douleur, dès que ça pique un peu tu mets du spray !” “Après la greffe de cheveux, j’ai lu, j’ai regardé des films…” “Franchement ça va te faire du bien !”
Cyrille Eldin présente l’intervention à l’aide de plusieurs arguments qui convainquent naturellement Laurent Baffie de s’offrir des implants capillaires. “Le but c’est de ne pas faire la pub Chaussée aux Moines !”