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Patrimoine génétique ou bistouri ? On décrypte les ressemblances des stars et leurs enfants

Victoria et Romeo Beckham, Monica Bellucci et Deva Cassel… Pour ces femmes à la beauté transcendante souvent attribuée à la chirurgie esthétique, leur progéniture rappelle à tous que lorsque la médecine esthétique est bien exécutée, elle demeure invisible. Si le talent des nepo babies est parfois remis en question, leurs gènes eux ne mentent pas.
Quelle place a la génétique dans la beauté ?

Victoria et Romeo Beckham

En matière de génétique, certains sont mieux lotis que d’autres. C’est le cas de Romeo Beckham par exemple, dont la ressemblance avec sa mère Victoria Beckham est troublante. Nez retroussé, pommettes hautes, lèvres charnues… Son fils hérite de toutes les caractéristiques singulières de sa mère !

Du haut de ses 50 ans, Victoria Beckham pourrait aisément passer pour la sœur de son fils. Ses gènes, mélangés au patrimoine génétique de David Beckham – rien que ça – rayonnent à travers son fils. Cette ressemblance est pour nous un bon indicateur de la qualité de ses traitements esthétiques, et nous permet de jauger à quel point ses traits ont été altérés. 

Victoria passe-t-elle le test de la génétique ?

Au fil du temps, Victoria Beckham opte pour un usage plus soutenu de la médecine esthétique. Connue pour son emblématique RBF « Resting Bitch Face », cette apparence pourrait aussi être due à une quantité excessive de Botox® qui fige ses traits.

Côté volumes, on remarque que sa bouche est légèrement déformée après des années de fillers, du fait de la migration du produit qui lui confère un effet « duck face ». Au niveau des joues, la créatrice a longtemps arboré un pillow face, fruit d’injections excessives d’acide hyaluronique. 

Elle semble avoir opté pour la dissolution de ses fillers afin de rééquilibrer les volumes de son visage, lui conférant un aspect bien plus naturel. Néanmoins, après des années de pratiques excessives et mal avisées, un fossé se creuse entre son apparence et celle de son fils. 

Quelle place a la génétique dans la beauté ?

Monica Bellucci et Deva Cassel

Il en est de même pour Monica Bellucci et sa fille Deva Cassel, fruit de son union avec l’acteur français Vincent Cassel. Bouche pulpeuse et regard charbonneux ; Deva Cassel hérite des traits fétiches de sa mère. 

De la même manière, les deux femmes portent leur beauté similaire à des âges différents. À 60 ans, Monica Bellucci est une reine de talent et de beauté incontestée. Ses traits si singuliers n’ont pas bougé et se reflètent fidèlement sur le visage de sa fille. On comprend donc que la beauté s’hérite, mais surtout elle s’entretient. 

Monica passe-t-elle le test de la génétique ?

Au cours de sa vie, Monica Bellucci a toujours opté pour une approche subtile et préventive de la médecine esthétique. Elle a compris que la clé d’une apparence harmonieuse est de cultiver le potentiel naturel de sa beauté à l’âge que l’on a. 

On remarque quelques touches de Botox® judicieusement placées au niveau du front, lissant efficacement ses rides tout en préservant sa mobilité faciale. Côté fillers, même stratégie. L’actrice en fait un usage intelligent en comblant subtilement les pertes de volume, lui permettant de conserver des proportions bien équilibrées. 

Finalement, il apparaît que Monica Bellucci est une adepte de la quiet beauty, à en juger par son impressionnante qualité de peau. Son ovale demeure tonique et sa peau rayonne. Qu’elle ait choisi la radiofréquence, les ultrasons focalisés, le laser ou bien le microneedling, une chose est sûre : Monica Bellucci adhère à la biostimulation

La singularité de ses traits se maintient à travers le temps, offrant à sa fille un modèle d’acceptation et de confiance en soi.

Quelle place a la génétique dans la beauté ?

Angelina et Shiloh Jolie

Les deux femmes Jolie n’en n’ont pas que le nom ; elles portent leur beauté éthérée avec une grâce sans pareille. Shiloh hérite de la structure faciale de sa mère : regard ouvert, fossette au menton ainsi que la bouche charnue et emblématique de l’actrice. 

À 49 ans, Angelina Jolie est une icône de combativité et de beauté. Son visage traverse les décennies sans altération autre que l’œuvre naturelle du temps. Pas étonnant alors qu’elle ressemble encore trait pour trait à sa fille de 18 ans. 

Angelina passe-t-elle le test de la génétique ?

Au cours de sa carrière, Angelina Jolie a toujours opté pour une vision organique et intemporelle de la beauté. En cela, elle est une ambassadrice de la quiet beauty de la première heure ! 

Côté injections, elle semble avoir opté pour un cocktail subtil de Botox® et d’acide hyaluronique hydratant, lui permettant de conserver une peau fraîche et rebondie. Ses secrets beauté semblent surtout relever de la biostimulation.

Grâce à des traitements perfecteurs de peau, Angelina Jolie conserve une peau ferme et tonique tout en maintenant ses réserves de collagène gonflées à bloc. Sa fille Shiloh reflète fidèlement les traits de sa mère : elle passe le test de la génétique haut la main !

Comment préserver sa beauté originelle ?

La différence entre Victoria Beckham et le duo quiet beauty Bellucci-Jolie est la preuve qu’une médecine esthétique douce est la clé d’un vieillissement authentique et maîtrisé. Les deux actrices l’ont bien compris : rien ne sert de modifier ses traits, il faut plutôt viser des actes subtils qui magnifient la beauté naturelle. 

C’est ainsi qu’elles traversent tous les âges avec grâce et surtout… la même apparence. Ces stars ont compris que leurs enfants incarnent les modèles de leur beauté naturelle et qu’il ne sert à rien de chercher à s’en éloigner. 

Après des années de procédures cosmétiques, Monica et Angelina portent leurs traits naturels avec fierté, sans toutefois sacrifier leur capital jeunesse. En cela, elles sont des véritables précurseuses de la quiet beauty ! 

Entretenir le capital jeunesse sans altérer les traits

Étape 1 : Les injections. Des injections de Botox® pour lisser les rides du front, et une injection HAmonyCA® sans volume, pour hydrater la peau de l’intérieur et stimuler la production de collagène.

Étape 2 : L’induction collagénique. On opte pour les ultrasons focalisés du Soft Lift qui agissent sur les 3 couches de la peau. La graisse superficielle fond, les muscles sont tonifiés et la peau se raffermit. Un véritable mini-lifting non-invasif ! 

Étape 3 : La biostimulation. On entretient la densité et la tonicité de la peau avec un protocole de Microneedling Radiofréquence. Les micro-aiguilles lissent les rides et les imperfections, tandis que l’énergie de la radiofréquence relance la production profonde de collagène. À la clé, une peau ferme et rebondie so quiet beauty. 

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