1998 marque une année de grand succès pour Elon Musk. Il lance PayPal, une banque en ligne, qui le propulsera sur le devant de la scène, asseyant sa légitimité entrepreneuriale. Si l’homme d’affaire vit une de ses années les plus fructueuses, sa chevelure n’affiche pas la même opulence.
L’alopécie androgénétique d’Elon Musk, une condition héréditaire, précipite la chute de ses cheveux au niveau de la ligne frontale et des golfes. Dans son cas, elle ne semble pas toucher le vertex, soit le haut de la tête, dont la densité se maintient à travers les années. Sa calvitie s’articule alors principalement à l’avant du crâne, se caractérisant par un recul progressif de sa ligne frontale.
À ce moment, il est possible qu’Elon Musk ait opté pour un traitement médicamenteux type finastéride ou Minoxidil afin de ralentir et stabiliser la chute des cheveux. Si ces médicaments ne traitent pas directement les causes de l’alopécie, ils permettent de sauvegarder le capital capillaire et tempérer la chute des cheveux.
Dans les années 2000, la chevelure d’Elon Musk apparaît plus fournie, de quoi nous mettre la puce à l’oreille. S’il est vrai qu’un traitement médicamenteux peut lui permettre de stabiliser la chute, il est cependant inenvisageable qu’il induise une telle pousse de cheveux.
À 32 ans, il semble qu’Elon ait opté pour une greffe capillaire avec la méthode FUT, aussi appelée « technique de la bandelette ». Cette technique très populaire dans les années 2000 consiste à prélever une bande entière de cheveux à l’arrière de la tête afin d’en extraire les greffons, en vue de leur implantation au niveau des zones clairsemées. Cette technique invasive est facilement identifiable en ce qu’elle laisse une large cicatrice à l’arrière du crâne.
Cette première greffe capillaire lui permet de retrouver une ligne frontale densifiée, sans toutefois recouvrir l’intégralité des zones clairsemées. Ici, on peut imaginer que la bandelette prélevée n’ait pas été très large, ne permettant pas de recouvrir intégralement sa calvitie.
Dans le traitement d’une alopécie androgénétique, il n’est pas rare que plusieurs greffes capillaires soient nécessaires à mesure que la chute des cheveux évolue. C’est le cas d’Elon Musk, qui réalise sa seconde greffe capillaire aux alentours de 2009/2010. À en juger par sa nouvelle cicatrice sur le côté de la tête, il semblerait que cette greffe capillaire ait aussi été réalisée par la méthode FUT.
Cette seconde greffe permet d’achever la reconstruction de la ligne frontale et des golfes, qui affichent depuis une épaisse densité. L’alopécie d’Elon Musk ne semble pas s’être propagée au vertex, qui n’a jamais présenté d’éclaircissement.
En parallèle, il est possible que l’entrepreneur continue son traitement médicamenteux afin de préserver les cheveux natifs sensibles à la DHT, et d’immobiliser la chute.
À 53 ans, l’icône de pop culture affiche une chevelure fournie emblématique de son look. Pour camoufler ses cicatrices, il est possible que Musk ait eu recours à des traitements de micropigmentation. Cette technique consiste à introduire des pigments colorés dans les couches superficielles du cuir chevelu afin d’imiter une implantation capillaire sur le tissu cicatriciel, dépourvu de cheveux.
Pour l’instant, Elon Musk ne semble pas nécessiter de 3ème greffe capillaire. Néanmoins, ses implants capillaires ayant été réalisés avec la méthode FUT, aujourd’hui considérée obsolète, il pourrait bénéficier de quelques améliorations esthétiques grâce aux récentes innovations technologiques.
Par exemple, le dessin de sa ligne frontale est rectiligne, résultant en un effet « cheveux de poupée », caractéristique d’un temps révolu. La méthode DHI®, qui propose une restauration ultra naturelle de la ligne frontale grâce à l’utilisation de greffons simples, lui permettrait de retrouver une allure authentique, et toujours, sans cicatrice.
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