La distinction entre médecine esthétique et chirurgie esthétique n’est pas forcément évidente pour tout le monde. La chirurgie esthétique est une spécialité médicale qui propose des procédures chirurgicales dont le but est l’embellissement esthétique. Ces procédures sont par définition invasives, et réalisées en bloc opératoire par un chirurgien. Par exemple : l’augmentation mammaire, la rhinoplastie, le BBL…
La médecine esthétique englobe un ensemble de soins et traitements non invasifs et non-chirurgicaux, qui visent à sublimer discrètement l’apparence. C’est une approche douce et naturelle du soin esthétique. La médecine esthétique est prodiguée en clinique par un médecin esthétique qui use d’une panoplie de technologies novatrices. Par exemple : le micronneedling, le laser, les ultrasons focalisés…
L’amalgame entre chirurgie et médecine esthétique peut mener à croire que les résultats de la médecine esthétique ne sont pas naturels. Pourtant, la visée même de la médecine esthétique est de proposer une alternative douce et actualisée de la chirurgie esthétique. Exit les traitements lourds et ostentatoires, la tendance est désormais au naturel.
La médecine esthétique s’emploie à rendre ses traitements imperceptibles, notamment grâce à des techniques non-invasives. Un mini-lifting sans bistouri, c’est dorénavant possible ! Le SoftLift fonctionne avec une pièce à main qui dispense des ultrasons dans les couches de l’épiderme. Il est possible de faire fondre la graisse superficielle, tonifier les muscles et améliorer la qualité et l’élasticité de la peau. Résultat : la peau est raffermie et les traits sont visiblement liftés. 2 séances par an suffisent.
À l’inverse, il arrive que les habitués de la chirurgie et ses résultats ostensibles reprochent aux résultats de la médecine esthétique d’être trop… subtils. À la Maison Lutétia, berceau de la quiet beauty, nous considérons que si un traitement se remarque, c’est qu’il est raté.
La médecine esthétique offre des résultats, mais elle ne se remarque pas. Lorsque vous réalisez un traitement de médecine esthétique, vos interlocuteurs perçoivent votre apparence sublimée, mais demeurent incapables de discerner la zone traitée ou le traitement réalisé.
Par exemple, un traitement de SkinBoosters, des injections d’acide hyaluronique fluide hydratant, repulpe et redensifie la peau grâce à une hydratation en continu de l’intérieur, sans altération de volume. La peau est rebondie et lumineuse, et le traitement est parfaitement imperceptible. L’effet bonne mine dure 6 mois !
Oui, la médecine esthétique a un coût. Les traitements de médecine esthétique, en ce qu’ils sont non-invasifs, requièrent parfois de réaliser un protocole de plusieurs séances pour donner vie à vos envies esthétiques. Néanmoins, lorsqu’on compare le coût de la médecine esthétique et de la chirurgie esthétique, la facture de cette dernière est bien plus lourde.
La chirurgie esthétique propose des traitements lourds et des actes chirurgicaux qui nécessitent du matériel, une multitude de personnel soignant (consultation médicale, chirurgien, infirmière, anesthésiste), ainsi qu’une hospitalisation plus ou moins longue selon l’opération. Tous ces éléments, combinés à des traitements radicaux donc naturellement plus chers, alourdissent considérablement votre facture.
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Il subsiste encore cette croyance populaire selon laquelle la médecine esthétique, et plus largement tous les actes médicaux à visée esthétique, seraient uniquement réservés aux célébrités. C’est sans compter sur la démocratisation exponentielle de la médecine esthétique. En 2023, 20% des Français ont réalisé un traitement de médecine esthétique selon un sondage de Mediacritik. L’acte le plus pratiqué ? Le traitement de Botox®.
Lorsqu’on réalise un traitement de Botox®, le résultat dépend du choix du médecin ainsi que de la technique employée. Soucieuse de proposer un plateau technique à la pointe de la technologie, la Maison Lutétia utilise un injecteur exclusif délivrant la juste dose de produit. Celui-ci a été pensé pour dispenser la même quantité de produit à chaque point d’injection, afin de sauvegarder les expressions du visage et garantir un résultat naturel et imperceptible.
Selon une enquête IMCAS (Aesthetic Surgery & Cosmetic Dermatology) parue au début de l’année 2024, les 18-34 ans ont davantage recours à la médecine esthétique que les 50-60 ans ! Ceci s’explique par une évolution de la compréhension du vieillissement cutané, et du développement de la logique préventive.
Avant les années 2010, on appliquait une logique curative au vieillissement cutané, en traitant les signes de l’âge lorsque que ceux-ci étaient bien installés. Aujourd’hui, la tendance est à la prévention. Les 18-34 ans se tournent vers la médecine esthétique pour améliorer la qualité de la peau, stimuler la production de collagène, traiter les premières rides au Botox® pour empêcher qu’elles ne se creusent…
