La greffe de cheveux Mika Caiolas

Les traitements les plus recherchés

Cela fait deux ans que Mika a ouvert la Barber Factory. Ce hair stylist est réputé sur les réseaux sociaux pour coiffer les célébrités ! A 38 ans, il ne supporte plus “le regard des gens par rapport à sa perte de cheveux”. C’est la raison pour laquelle il décide d’avoir recours aux implants capillaires. “J’ai envie de pouvoir m’éclater comme je peux le faire sur mes clients”. Son alopécie est au stade 2 sur l’échelle de Norwood, ce qui signifie que ses golfes sont légèrement reculés, et que le but de l’intervention est avant tout esthétique.

Description du cas

Pourquoi a-t-il choisi de réaliser sa greffe de cheveux à la Maison Lutétia ? Récemment, en accueillant l’un de ses clients au sein de son salon, celui-ci évoque sa greffe capillaire réalisée à la clinique, et Mika trouve les résultats impressionnants. “C’est de la couture ce qu’on t’a fait, c’est dingue !”. C’est ainsi qu’il se renseigne sur la méthode DHI, pratiquée en exclusivité par le Maison Lutétia, qui offre des résultats denses et naturels sans cicatrice.

La greffe de cheveux de Mika Caiolas

Afin de combler ses golfes et redéfinir sa ligne capillaire, une session Small + est préconisée, avec un Dense Packing. C’est une technique d’épaississement qui peut atteindre une densité très élevée. Pour ce faire, une injection de solution saline est réalisée de façon à gonfler la peau et à implanter un maximum de cheveux au centimètre carré. Une fois la peau dégonflée, la densité capillaire est superbe. Elle est conseillée aux patients qui ont une perte de cheveux minimale, souhaitant ajouter de la coiffe à leur look capillaire, comme Mika !

Avant l’intervention est réalisée une coupe Marin Shave afin de faciliter l’accès à la zone hippocratique pour l’extraction. Au total, 1110 follicules sont prélevés, ou 2654 cheveux, avec un ratio de 2,40 cheveux par follicule. Côté douleur, Mika n’a absolument rien ressenti.

“On m’avait dit que l’anesthésie pouvait faire un peu mal mais je n’ai rien senti”, allant même jusqu’à dire qu’“un tatouage fait plus mal qu’une greffe de cheveux”.