Appelée BDD en anglais (Body Dysmophic Disorder), la dysmophophobie est une crainte irrationnelle relevant de l’obsession d’avoir un défaut physique. Ce trouble psychologique peut avoir une incidence sur la perception de son propre corps, celle-ci évoluant en fonction de son humeur. Par exemple, Béatrice Martin, ou Cœur de Pirate, évoque sur Instagram sa « dysmorphie corporelle avant d’aller bruncher”, sous-entendant que le seul fait de penser à s’alimenter faisait gonfler son corps dans le miroir. Un trouble particulièrement désarçonnant qui s’est développé avec Instagram, et l’incessante comparaison aux autres qui entraîne une forte anxiété. Ces contenus (majoritairement retouchés !) sont le plus souvent postés par des mannequins dont le physique ne représente pas la norme, mais dont on finit par penser qu’il l’est puisqu’il inonde le feed. Quand la limite entre fantasme et réalité est si poreuse qu’elle en devient toxique ! Ainsi de plus en plus de jeunes chercheraient à transformer leur corps et leur visage, à l’aide de filtres… ou en sautant le pas de la chirurgie ou de la médecine esthétique.

Quoi de mieux, pour nourrir l’estime de soi, que de révéler la meilleure version de vous-même, et non sa version filtrée ? Pour contrer la dysmorphophobie, rencontrer un médecin de médecine esthétique de la Maison Lutétia permet de provoquer l’échange, une prise de conscience… Retrouver une peau douce, un ventre tonique après un accouchement, défroisser le décolleté… Il existe pour chacun, grâce au bodypositive, une façon d’apprendre à se regarder et à retrouver de l’amour pour soi.